L’oeil de Reza Jafarian

[Crédit photo : Reza JAFARIAN]

Des opposants iraniens le 8 mars 2013: A Paris, il y a beaucoup de groupes d'opposants iraniens qui manifestent lors des journées internationales, comme ici le 8 mars (journée internationale de la femme) avec les Parisiens. [ crédit : Reza Jafarian]

Des opposants iraniens le 8 mars 2013:
A Paris, il y a beaucoup de groupes d’opposants iraniens qui manifestent lors des journées internationales, comme ici le 8 mars (journée internationale de la femme) avec les Parisiens.
[ Crédit photo : Reza Jafarian]

 

L’exposition Omid est mon nom à Francfort : Je suis allé à Francfort pour soutenir deux femmes (Paraste Frohar et Monire Baradaran) qui se sont opposées au gouvernement iranien. Beaucoup de leurs œuvres et de leurs statues ont été exposées. Leur mouvement d’opposition a débuté lors de l’exécution des prisonniers politiques en Iran en 1988. J’ai pris de nombreuses photos de personnes vraiment tristes au cours de l’exposition.

 La Tour Eiffel sur la place du Trocadéro: C'est la photo de la Tour Eiffel que je préfère depuis que je me suis installé à Paris en décembre 2010. [Crédit photo : Reza Jafarian]

La Tour Eiffel sur la place du Trocadéro:
C’est la photo de la Tour Eiffel que je préfère depuis que je me suis installé à Paris en décembre 2010. [Crédit photo : Reza Jafarian]

Quelques lieux touristiques à Paris : J’ai fait des photos de certains lieux touristiques de Paris en 2011 et 2012 pour un livre qui n’a jamais été publié à cause de ma situation. Voici les meilleurs:

Journée internationale : Norouz le 21 mars 2014: Il existe une association internationale qui s’appelle Norooz. Elle célèbre Norouz (nouvel an perse) chaque année le 21 mars en face du palais de Chaillot à Paris.

Manifestation à Paris contre la peine de mort en Iran: Voici une manifestation d’opposants iraniens contre la peine de mort en Iran. Ils ont manifesté le 20 janvier 2010 avec des portraits de personnes que le gouvernement iranien a voulu supprimer.

Le cimetière en face de l'association la Maison des Journalistes: J'ai vécu six mois à la Maison des Journalistes. Voici la première photo que j'ai prise par la fenêtre de ma chambre en mai 2011. [Crédit photo : Reza Jafarian]

Le cimetière en face de l’association la Maison des Journalistes:
J’ai vécu six mois à la Maison des Journalistes. Voici la première photo que j’ai prise par la fenêtre de ma chambre en mai 2011. [Crédit photo : Reza Jafarian]

Le soir de l'élection présidentielle de 2012 sur la place de la Bastille: Je fais de nombreuses photos de manifestations parisiennes. En voici une de la soirée de la première élection présidentielle que j'ai vue à Paris.  [Crédit photo : Reza Jafarian]

Le soir de l’élection présidentielle de 2012 sur la place de la Bastille:
Je fais de nombreuses photos de manifestations parisiennes. En voici une de la soirée de la première élection présidentielle que j’ai vue à Paris.
[Crédit photo : Reza Jafarian]

Affaire Samuel Eto’o, l’ex-maitresse saisit la justice française

Nathalie Koah, une ex-amante du footballeur Samuel Eto’o (cliquez ici pour lire l’article) qui l’accuse d’avoir publié sur Internet des photos d’elle dénudée, a déposé plainte à Paris.

[ Par René DASSIE ]

Privé de club- il serait actuellement en négociation avec  le londonien West Ham et exigerait un salaire hebdomadaire 126 360 euros- Samuel Eto’o Fils, richissime footballeur camerounais et ex-sociétaire de Chelsea, rebondit devant la justice française.

Le footballeur de 33 ans, sept fois nommé au Ballon d’or et triple vainqueur de la Ligue des champions est en effet l’objet d’une plainte pour «traite de personne, outrage privé à la pudeur, publications obscènes, proxénétisme, menaces sous conditions, chantage et déclarations mensongères» déposée devant le parquet de Paris par son ancienne maitresse, la dénommé  Nathalie Koah, hôtesse de l’air à la compagnie nationale aérienne camerounaise Camair-Co.

Nathalie Koah (Photo tirée de journalducameroun.com) et Samuel Eto'o (Photo tirée de masalamag.us)

Nathalie Koah (Photo tirée de journalducameroun.com) et Samuel Eto’o (Photo tirée de masalamag.us)

Cette jeune femme de 27 ans, qui a été sa maitresse pendant sept, de 2007 à 2013, l’accuse d’être à l’origine de la diffusion fin mai sur Internet, de plusieurs photos hautement suggestives d’elle.

Selon Le Parisien qui a pu consulter la plainte déposée le 8 juillet au commissariat du XVIe de Paris, Nathalie raconte que tout commence en novembre 2013, au moment où son idylle avec le footballeur se brise pour une histoire de jalousie. Samuel Eto’o la soupçonne alors d’entretenir une relation parallèle avec Fally Ipupa, une vedette de la chanson congolaise. Il lui demande en guise de preuve de sa loyauté, de prendre des photos dénudées du chanteur afin de les diffuser sur Internet dans le but de « détruire son image et sa carrière ». Ce qu’elle aurait refusé.

Mécontent, Samuel Eto’o porte plainte à Yaoundé, l’accusant de vouloir diffuser sur Internet des images de leurs ébats. Les gendarmes qui auditionnent Nathalie lui retirent ses portables personnels. Quelques jours plus tard, Samuel Eto’o la contacte sur son téléphone professionnel. « Il s’était visiblement fait envoyer mes portables chez lui, à Londres. Il a dit que, s’il voulait, il pouvait diffuser les messages et les photos qu’ils contenaient et ainsi me nuire ».

Le 29 mai dernier, alors qu’elle rentre d’une virée nocturne avec des copines, Nathalie est interpellée à Yaoundé par des policiers, qui lui apprennent qu’Eto’o a déposé une nouvelle plainte contre elle, pour escroquerie et vol. Le footballeur lui réclamerait une somme d’argent provisoirement arrêtée à quelques 300 000 euros ainsi qu’une montre Rolex qu’il l’accuse d’avoir volée chez lui. Un avocat d’Eto’o explique que son client envoyait régulièrement de l’argent à Nathalie pour alimenter sa fondation à Yaoundé, et que, vérification faite,  pas un sous ne serait parvenu à destination. La mise en cause rétorque qu’elle n’a jamais dirigé cette fondation qui existe depuis 2006, c’est-à-dire un an avant leur rencontre. Elle reconnait cependant avoir bénéficié des largesses du footballeur, qui lui aurait donné entre autre une montre Rolex en guise de cadeau d’anniversaire. Après trois jours de garde à vue, elle est libérée, faute de preuve.

C’est dans ce contexte que ses photos suggestives font leur apparition sur certains réseaux sociaux. Elles sont reprises, à peine brouillées, par des médias camerounais et africains, acquis pour la plupart, à la cause du footballeur. « Un véritable assassinat social », dénonce Me Thibault de Montbrial, l’avocat français Nathalie. Celle-ci  fait un malaise et doit être hospitalisée plusieurs jours. Remise de ses émotions, elle intente une action au Cameroun qu’elle stoppe peu après, au profit d’une procédure en France.

Samuel Eto’o qui avait promis qu’il ferait toute la lumière sur cette affaire après la coupe du monde s’est contenté de dire que Nathalie « cherchait à l’embrouiller ». Ce sont les médias camerounais qui ont régulièrement sonné la charge contre la jeune femme dont ils dénoncent la vénalité et soupçonnent aussi de faire partie d’un complot visant le joueur, orchestré par certains hauts responsables du régime camerounais.

« Nous avons eu droit ces dernières semaines à des textes d’une « Etophilie » quasi militante .Or le sujet aurait dû inviter à la mesure », déplore Ndjama Benjamin, un contributeur du site Camer.be.

La plainte de Nathalie a été transmise au parquet de Paris, qui doit décider des suites à donner dans les prochains jours.

Antisémitisme : grande inquiétude dans la communauté juive de France

[Par René DASSIE’]

Les manifestations pro-palestiniennes et leurs débordements antisémites violents suscitent la peur chez les juifs de France. Depuis le déclenchement le 8 juillet de « Bordure protectrice », une nouvelle militaire israélienne dans la bande de Gaza, en réponse aux tirs de roquettes du Hamas, les Juifs sont victimes d’une recrudescence d’agressions antisémites, lors des manifestations pro-palestiniennes dans la région parisienne.

© Muzaffar Salman

La manifestation pro-palestinienne qui s’est déroulée dans la capitale, samedi 19 Juillet, à Barbes.
© Photo crédit : Muzaffar Salman

Le ton est donné dès le dimanche 13 juillet, avec les « morts aux juifs » entendus dans les rues de Paris, au cours de la première manifestation qui rassemble des milliers de personnes, entre Barbès et la place de la Bastille. Au moment de la dispersion de la foule, plusieurs personnes tentent de pénétrer par la force dans deux synagogues, situées rue des Tournelles (IVe) et rue de la Roquette (XIe). C’est grâce l’intervention des forces de l’ordre qu’ils en sont empêchés.
Rebelote six jours plus tard à Barbès, dans le nord de Paris. En dépit d’une interdiction administrative, quelques milliers de personnes ont répondu à l’appel à manifester lancé par une quarantaine d’organisateurs, parmi lesquels le NPA, le Parti des Indigènes de la République, le Collectif des musulmans de France et l’Union générale des étudiants de Palestine. Parmi eux, plusieurs dizaines de casseurs. La manifestation commencée dans le calme dégénère en scène d’émeute, lorsque les forces de l’ordre tentent de s’interposer. Ils sont vivement pris à partie par certains manifestants qui leur lancent cailloux, pétards et autres projectiles et ripostent avec des gaz lacrymogène. Bilan : une vingtaine de policiers et de gendarmes blessés, une quarantaine d’interpellation et de nombreux biens publics, dont des cabines téléphoniques, des supports publicitaires et deux camionnettes de la RATP détruits. I-télé filment des jeunes brûlant des drapeaux israéliens.
Le lendemain dimanche, la banlieue est contaminée par cette violence qui cible la communauté juive. A Sarcelles, une ville de 60 000 habitants du Val d’Oise surnommée « la petite Jérusalem » eu égard à l’importante communauté juive séfarade qui y vit depuis des décennies, un nouveau rassemblement lui aussi interdit par les autorités réuni dans la soirée plusieurs sympathisants pro-palestiniens. Les casseurs qui ont infiltré les rangs des manifestants réussissent effectivement à s’en prendre à des commerces appartenant à des israélites. En criant à nouveau « mort aux juifs ». Une pharmacienne présente dans la ville depuis des décennies, l’épicier casher dont l’établissement avait déjà été la cible d’un attentat à la grenade il y a deux ans, verront leurs enseignes attaquées par les flammes. Dans le même temps, des voitures et des poubelles sont brûlés et d’autres commerces vandalisés. Un élu syndicaliste évoque une « vraie guérilla urbaine », tandis que le maire socialiste de la ville, François Pupponi, dénonce pour sa part « la haine contre l’autre exprimée en plein jour », ajoutant que « la communauté juive a peur ».

Antisémitisme
Selon le président du Conseil représentatif des institutions juives de France, jusqu’à sept synagogues ont été victimes d’agression, depuis le début des manifestations. Les analystes sont pourtant unanimes à reconnaitre que les juifs de France n’ont rien à voir avec ce qui se passe actuellement dans la bande de Gaza. Où la nouvelle escalade de violence fait suite à l’enlèvement et l’assassinat de trois jeunes israéliens, suivi par l’assassinat tout aussi lâche d’un jeune palestinien, vraisemblablement brûlé vif, par des extrémistes juifs. On sait qu’après ces crimes, le Hamas, l’organisation islamiste qui tient la bande de Gaza a déclenché les hostilités et refusé un cessez-le-feu proposé par Israël. En un peu plus de deux semaines d’affrontement, le bilan est lourd, avec plus de 815 morts côté palestinien et 36 côté israélien.

© Fred Dufour / AFP Haïm Korsia (grand rabbin de France)

© Fred Dufour / AFP Haïm Korsia (grand rabbin de France)

« La haine qui s’exprime n’est pas liée à ce qui se passe à Gaza. Si c’était vraiment lié à l’actualité internationale, on aurait vu des gens manifester à Paris contre ce qui se passe en Syrie ou des massacres de populations dans le monde. Mais non, ce qui s’exprime c’est l’obsession anti-israélienne et antisémite. Une haine qui se manifeste au quotidien même quand il n’y a pas de guerre : des jeunes juifs sont frappés dans le métro, dans la rue… », analyse Haïm Korsia, Aumônier général des armées et nouveau grand rabbin de France, connu pour ses efforts dans le dialogue interreligieux.
Journaliste multimédia, Natacha Polony ne dit pas autre chose, dans une tribune publiée dans Le Figaro. «L’antisémitisme des banlieues a crû parallèlement à une radicalisation religieuse savamment entretenue par certains imams salafistes gracieusement fournis par des puissances du Golfe. Le drame des populations palestiniennes n’était alors qu’un opportun catalyseur. » Et d’ajouter : « C’est dans les manifestations contre la loi sur les signes religieux à l’école, en 2003 et 2004, qu’on entendit les premiers «mort aux Juifs.» Pour le Premier ministre Manuel Valls, « L’antisémitisme «se répand dans nos quartiers populaires, auprès d’une jeunesse souvent sans repères, sans conscience de l’histoire qui cache sa «haine du Juif» derrière un antisionisme de façade et derrière la haine de l’Etat d’Israël ».
Du coup, dans la communauté juive règne une profonde inquiétude. Certains évitent de se montrer avec des signes religieux trop évidents, tandis que d’autres envisagent de quitter la France. Selon Oded Forer, directeur général du ministère de l’Immigration israélien, plus de 5.000 juifs de France vont immigrer en Israël en 2014, un record depuis la création de cet Etat il y a 66 ans.
Les autorités tentent de rassurer les juifs de France. Pour, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, « les juifs en France ne doivent pas avoir peur ». Son collègue de l’Intérieur Bernard Cazeneuve assure de son côté que la communauté juive « sera protégée par le gouvernement ».
Pour Frédéric Haziza, journaliste à LCP et à radio J, « la République représente justement cet élan pour vivre ensemble sans exclusive. Il est du devoir des Républicains, de le rappeler, de s’unir et de faire du retour à la cohésion sociale une «grande cause nationale».
Pour le grand rabbin de France, la situation invite à faire un diagnostic de cette « haine des juifs qui « s’habille des oripeaux de l’antisionisme », Puis à « mettre en route des mesures de formation de la jeunesse, un contrôle de ce qui est diffusé sur les réseaux sociaux et les satellites, qui arrive du monde entier et qui diffuse la haine ».

Barbès, manifestation pro-palestinienne interdite : le reportage photo

La manifestation pro-palestinienne prévue dans la capitale, samedi 19 Juillet, à Barbes, malgré l’interdiction de la préfecture de police de Paris, a dégénéré :

le reportage photo de Muzaffar Salman.

© Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman © Muzaffar Salman

18 Juillet : la Journée internationale Nelson Mandela à la MDJ

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Armand Iré, Côte d’Ivoire : 

Du terroriste fiché par le FBI au héros mondial, Nelson Rolihlahla Mandela, une vie.

 

Rasoul Asghari, Iran : Résistance 

Nelson Mandela nous a montré la voie par sa lutte et dans sa résistance. Mais le plus important dans ce qu’il nous a enseigné c’est que indépendamment du contexte, lutter pour la liberté est la seule chose qui compte.

 

Murad Moudia, Soudan du Sud : Mandela, le dernier prophète de la Paix et de l’Humanité.

La naissance de Mandela a été la naissance d’une légende, son départ a été le départ du dernier prophète de la paix et de l’humanité. Sa lutte incroyable et sa longue marche vers la liberté pour faire tomber le système de l’apartheid dans son pays a été remarquable et importante pour la liberté et la dignité de l’ensemble de l’humanité. Il est devenu une icône et un symbole de la justice internationale et de l’égalité des droits : Il restera toujours une des figures les plus importantes de l’histoire humaine.

Behzad Qayomzada, Afghanistan : Mandela, le symbole de l’antiracisme. 

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Pa Amadou Jallow, Gambia : Comme le monde se souvient de votre noble effort.

Chaque année, le 18 Juillet – la Journée où Nelson Mandela naquit – l’ONU se joint à l’appel lancé par la Fondation Nelson Mandela à consacrer 67 minutes de temps à aider les autres : un moyen de marquer la Journée internationale Nelson Mandela.

Pour 67 ans, Nelson Mandela a consacré sa vie au service de l’humanité – en tant qu’avocat des droits de l’homme, en tant que prisonnier d’opinion, en tant qu’artisan de la paix internationale ainsi que premier président démocratiquement élu d’une Afrique du Sud libre.

Voici quelques-unes de mes citations préférées, de vous, Madiba…

« Au cours de ma vie, je me suis consacré à cette lutte des peuples africains. J’ai combattu contre la domination blanche et j’ai combattu contre la domination noire. J’ai chéri l’idéal d’une société libre et démocratique dans laquelle tout le monde vivrait ensemble en harmonie et avec des chances égales. C’est un idéal pour lequel j’espère vivre et que j’espère accomplir. Mais si nécessaire, c’est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir. »

« Les vrais leaders doivent être prêts à tout sacrifier pour la liberté de leur peuple. »

« Si vous parlez à un homme dans une langue qu’il comprend, cela va dans sa tête. Si vous lui parlez dans sa langue, cela va dans son cœur. »

Nelson Mandela est parti, mais ses mots resteront … RIP

Personne ne peut arrêter de compter vos efforts, le monde vous sera toujours reconnaissant.

Sadegh Hamzeh, Iran :  Noirs et blancs ne sont pas différents. L’Humanité, c’est importante.

Aden Duale Gibril, Somalie : La vengeance, l’une des sources de conflits.

Nelson Mandela a été  un personnage célèbre de notre  époque, une figure de notre siècle, mais hélas un homme comme les autres : la mort ne l’a pas épargné. Son parcours  a été hors-norme, sa vie a été  atypique : il a subit la dureté de la période la plus sombre de l’histoire de son pays et il a combattu contre l’injustice et  la discrimination raciale qui existait dans son pays. Il a réussi à sortir son pays du conflit en rejetant la vengeance. Il a laissé derrière lui un pays stable et prospère mais aussi des idées et des valeurs nobles. Son héritage servira l’humanité contre  les conflits !

Le 14 Juillet 2014 raconté par les clichés de Muzaffar Salman

Le 14 Juillet 2014 raconté par les clichés de Muzaffar Salman.

Le 14 Juillet 2014 vu par des plumes de la MDJ

Cet année, la fête nationale du 14 juillet sera marqué par le lancement du cycle international des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale 1914-2014 : 80 pays belligérants de la Grande Guerre seront symboliquement réunis à Paris à l’invitation de la France afin de participer au défilé des Champs-Elysées.
A l’occasion de cette journée, des plumes de la Maison des journalistes proposent leurs réflexions.

Dessin de PLANTU

Dessin de PLANTU

France-Algérie, 14 juillet ou l’ambiguïté historique par Larbi Graine

14 juillet 2014 : Hommage aux pays africains alliés de la Grande Guerre par Benson Sérikpa

14 Juillet : Le peuple français, modèle inspirateur de la lutte pour la liberté par KIKI

France : Un exilé écrit sur le 14 juillet mais pour dire quoi ? par Sékou Chérif Diallo

Le 14 juillet vu des châteaux par Armand Iré