La liberté d’informer
Journalistes et lanceurs d’alerte, liberté d’expression et droits de l’Homme… Le combat pour la liberté d’informer est actuel, partout dans le monde et ne cesse d’être menacé. La Maison des journalistes – MDJ – à travers ses nombreuses missions et son journal “l’Oeil de la MDJ” lutte quotidiennement pour que chacun puisse jouir de son droit fondamental : critiquer librement.
Dans la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789, la liberté est le premier des quatre droits de l’Homme. Après la définition de la liberté et le rappel de la primauté de la loi (article 4), c’est le refus de la détention arbitraire (article 7), puis la présomption d’innocence (article 9) et l’affirmation du respect des opinions notamment « religieuses » (article 10). De plus, la « libre communication des pensées et des opinions » apparaît comme la première des libertés (article 11), dont les bornes sont définies par la loi.
La « libre communication des pensées et des opinions » est définie aujourd’hui par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme adoptée par Les Nations Unies en 1948 et ses diverses adaptations dans les lois des pays. Elle est aussi l’objet de réflexions philosophiques, politiques et éthiques quant à la meilleure façon de la pratiquer.
Le combat pour la presse libre continue !
/dans Culture, Europe, France, Liberté de la presse, Tribune Libre /par Rédaction[Par John CHITAMBO LOBE] La Maison des Journalistes a Paris-France est un refuge des journalistes exilés en France, une organisation unique dans le monde sans but lucratif. Elle a organisé une rencontre entre journalistes exilés membres de la rédaction de L’œil de l’exilé et l’équipe de Mediapart, journal numérique en ligne bilingue (anglais, espagnol et […]
Requiem pour la presse à l’est du Congo pseudo « démocratique »
/dans Afrique, Géopolitique, Liberté de la presse /par Deo Namujimbo[Par Déo NAMUMJIMBO] Sans journaux ni véritables radios et télévisions dignes de ce nom, des millions d’habitants de l’est du Congo dit démocratique doivent se connecter sur les chaînes étrangères et se disputer des journaux vieux de deux ans. Défection en masse des journalistes, arrestations arbitraires, tortures et intimidations et autocensure sont les seuls choix qui restent aux « chevaliers de la plume ». […] Reportage.