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RD Congo : les carottes sont cuites

[POST-ÉLECTORAL] Les carottes sont cuites. Félix Tshisekedi est désormais le cinquième président de la RD Congo. Il en sera ainsi pendant son mandant de cinq ans, jusqu’en 2023. Pour autant, cela n’efface pas comme par enchantement le contentieux post-électoral, puisqu’il y en a un. Qui jure avec les « mensonges des urnes ». Celui-ci aura constitué, en droit, un cas de « jurisprudence », en matière d’élection en Afrique. Et ouvert, pour les Congolais, une plaie à vif du tribalisme.

Amnesty International révèle les violations des droits de l’homme en Côte d’Ivoire

[DROITS DE L’HOMME] La situation en matière de droits humains demeure fragile, présentée avant l’Examen périodique universel (EPU) sur la Côte d’Ivoire en mai, Amnesty International Côte d’Ivoire a mis en lumière des préoccupations majeures en termes de droits humains, notamment l’usage de lois répressives pour faire taire la dissidence.

RD Congo : le CLC va poursuivre son combat contre le « Système » et non les « individus »

[ÉLECTION] « Le combat du CLC est une autre nature, c’est un combat de longue haleine pour qu’au Congo, enfin, un Etat de droit puisse s’instaurer et que la population puisse vivre mieux. Nous continuerons, mais notre combat n’est pas une question d’individus, c’est une question de systèmes et là nous avons encore des choses à faire parce que l’État de droit et la liberté d’expression n’e sont pas encore mis en place, les libertés publiques ne sont pas encore acquises » a déclaré vendredi à Top Congo FM, l’historien Isidore Ndaywel modérateur du CLC.

RD Congo : éloge d’un hold-up électoral

[ÉLÉCTIONS] Le suspense s’est évanoui, puis l’intensité du tollé est retombée, après la proclamation de la victoire de Félix Tshisekedi et son investiture, le 24 janvier comme cinquième président de la République Démocratique du Congo. Du coup, les réseaux sociaux se sont calmés. Seule la vérité des urnes que personne n’est en mesure d’effacer persiste. Elle parle dans la conscience de tout un chacun, car, elle est absolue.

Affaire Laurent Gbagbo : terrorisme juridique à la Haye

[JUSTICE] Le 30 novembre 2011 lorsque sous l’activisme de Luis Moreno Ocampo, premier procureur de la CPI – Cour Pénale Internationale -, le pouvoir Ouattara transfère Laurent Gbagbo à la Haye, tous croient que le destin de cet homme est plié. Huit ans plus tard, il est blanchi de tous les crimes imputés. Mais coup de théâtre ! Il est toujours maintenu en détention après son acquittement total. Retour sur une harassante procédure judiciaire qui se termine par une prise d’otage de la CPI sur des personnes innocentes.