[av_section min_height=” min_height_px=’500px’ padding=’default’ shadow=’no-shadow’ bottom_border=’no-border-styling’ bottom_border_diagonal_color=’#333333′ bottom_border_diagonal_direction=’scroll’ bottom_border_style=’scroll’ scroll_down=” custom_arrow_bg=” id=” color=’main_color’ custom_bg=” src=” attach=’scroll’ position=’top left’ repeat=’no-repeat’ video=” video_ratio=’16:9′ video_mobile_disabled=” overlay_enable=” overlay_opacity=’0.5′ overlay_color=” overlay_pattern=” overlay_custom_pattern=” av-desktop-hide=” av-medium-hide=” av-small-hide=” av-mini-hide=” av_element_hidden_in_editor=’0′]
[av_one_fifth first min_height=” vertical_alignment=” space=” custom_margin=” margin=’0px’ padding=’0px’ border=” border_color=” radius=’0px’ background_color=” src=” background_position=’top left’ background_repeat=’no-repeat’ animation=” mobile_breaking=” mobile_display=”]
[/av_one_fifth][av_three_fifth min_height=” vertical_alignment=” space=” custom_margin=” margin=’0px’ padding=’0px’ border=” border_color=” radius=’0px’ background_color=” src=” background_position=’top left’ background_repeat=’no-repeat’ animation=” mobile_breaking=” mobile_display=”]
[av_image src=’https://www.oeil-maisondesjournalistes.fr/wp-content/uploads/2019/03/violence-conjugale.jpg’ attachment=’11626′ attachment_size=’full’ align=’center’ styling=” hover=” link=” target=” caption=” font_size=” appearance=” overlay_opacity=’0.4′ overlay_color=’#000000′ overlay_text_color=’#ffffff’ animation=’no-animation’ admin_preview_bg=”][/av_image]
[av_hr class=’short’ height=’50’ shadow=’no-shadow’ position=’center’ custom_border=’av-border-thin’ custom_width=’50px’ custom_border_color=” custom_margin_top=’30px’ custom_margin_bottom=’30px’ icon_select=’yes’ custom_icon_color=” icon=’ue808′ font=’entypo-fontello’ admin_preview_bg=”]
[av_textblock size=” font_color=” color=” av-medium-font-size=” av-small-font-size=” av-mini-font-size=” admin_preview_bg=”]
Cote d’Ivoire : l’Union européenne au secours de la concubine d’un ponte du régime
[/av_textblock]
[av_hr class=’short’ height=’50’ shadow=’no-shadow’ position=’center’ custom_border=’av-border-thin’ custom_width=’50px’ custom_border_color=” custom_margin_top=’30px’ custom_margin_bottom=’30px’ icon_select=’yes’ custom_icon_color=” icon=’ue808′ font=’entypo-fontello’ admin_preview_bg=”]
[av_textblock size=’16’ font_color=” color=” av-medium-font-size=” av-small-font-size=” av-mini-font-size=” admin_preview_bg=”]
Dame Awa Koné, concubine du colonel Issa Coulibaly directeur général adjoint des douanes ivoiriennes a laissé éclater son mal-être dans une vidéo et porter ainsi donc à la face du monde entier le triste visage coté jardin du père de ses 5 enfants. Des révélations à couper le souffle qui nous ont poussés à en savoir un peu plus sur cette histoire qui fait les choux gras des chaumières et administrations du pays des éléphants.
Une affaire dans laquelle l’Union européenne collabore avec la justice ivoirienne. Enquête sur 26 ans de vie commune partis en lambeaux.
Une histoire d’amour solide
Année 1991. Le fringant nouveau douanier jette son dévolu sur la douce et frêle Awa Koné. Il venait à peine de sortir de l’école des douanes et vivait chez une tutrice à Williamsville, une commune du centre-nord d’Abidjan. Awa Koné quant à elle vivait chez son ainée, une transitaire habitant Yopougon, la célèbre banlieue proche d’Abidjan.
De leur idylle naitra en 1995 un garçon qui est censé poursuivre actuellement ses études aux Usa. La venue de cet enfant constitue une étape décisive dans la vie de ce jeune couple. Awa et Issa décident de vivre ensemble pour élever leur fils. Ils ne se quitteront plus. La vie commune pour nos tourtereaux commence de manière laborieuse dans une chambre qu’ils sous-louent à Marcory une commune du centre d’Abidjan.
L’époux a ensuite une véritable ascension au niveau des douanes ivoiriennes. Parallèlement à ses activités professionnelles, son épouse et lui se lancent dans la vente de véhicules d’occasion, une “denrée” très prisée à Abidjan. Sous la gestion de madame, les affaires sont florissantes.
Le parc automobile et immobilier s’agrandit incroyablement. Coté carrière, tout va bien pour celui qui est devenu entretemps commandant et qui est actuellement le colonel Issa Ouattara directeur général des douanes ivoiriennes.
Son irrésistible élévation professionnelle sera sans doute l’élément déclencheur de son nouveau comportement.
En 2008, dame Awa Koné a des preuves irréfutables que le fruit du dur labeur de la vente de voitures entretient des “femmes dehors” comme on le dit à Abidjan. Elle décide catégoriquement d’arrêter le commerce de véhicule car son mari avait offert un véhicule neuf à sa maitresse alors qu’elle qui s’échinait à maintenir les affaires à flot.
Elle roulait dans une voiture qui avait de milliers de Kms au compteur. La prise de cette décision va lui couter sa tranquillité. Désormais, elle devient un paria sous le toit conjugal. Elle est dessaisie de toute responsabilité. Son avocat, maitre Doumbia Abdoul parle de “maltraitance physique et morale”.
Violence conjugale et impunité
Awa Koné est plus prolixe dans le calvaire qu’elle endure. Dans une vidéo de 31 minutes, elle étale publiquement ses malheurs. Elle n’a plus de responsabilités sur ses enfants, la sœur de son concubin prend le contrôle de son foyer, renvoie le personnel de maison de sa belle-sœur et recrute des personnes ne répondant que d’elle.
Une des cuisinières donnera une gifle à Awa Koné, son époux la battra devant le personnel de maison et ira jusqu’à la dénuder sous les rires des employés et devant leurs 4 filles.
De nombreux sévices, elle en subira jusqu’en 2017 où elle est renvoyée définitivement de la maison après avoir été atrocement amochée par son époux. Sauvée in extremis par des voisins et transférée d’urgence à l’hôpital, alors qu’elle avait perdu connaissance sous les coups répétés du père de ses enfants, Awa Koné ne rentrera plus jamais au domicile conjugal.
Acharnement, harcèlement et procédure judicaire
Malgré son départ du foyer, elle est harcelée par son mari qui garde toutes ses affaires et la prive de ses enfants. Alors qu’elle ne lui restait qu’un local commercial pour survivre, son désormais ex-concubin réquisitionne cet endroit en usant de sa position sociale, parachevant ainsi la condition d’extrême précarité de son ex-compagne.
Face à cet acharnement devenu un véritable harcèlement, Awa Koné saisi la section des droits de l’homme du ministère de la justice. Elle est prise en compte dans un programme d’assistance juridique aux personnes indigentes notamment les femmes et enfants.
Ce programme financé par l’Union européenne lui permettra de remporter une première bataille en ayant l’autorisation de voir sa progéniture 4 fois dans le mois. Cependant, de longues et harassantes journées attendent Awa Koné et son avocat au palais de justice d’Abidjan-plateau.
Leurs moyens sont limités et toutes les procédures engagées surtout celles qui permettront à cette mère de 5 gosses de bénéficier d’un dédommagement ne sont pas prises en compte par le programme spécial d’assistance judiciaire Cote d’Ivoire – Union européenne.
L’époux quand à lui est peu prolixe dans cette affaire et semble sur de son pouvoir. Joint par nos soins, il nous dit qu’il n’avait rien à dire et qu’on pouvait écrire ce qu’on voulait.
[/av_textblock]
[av_hr class=’short’ height=’50’ shadow=’no-shadow’ position=’center’ custom_border=’av-border-thin’ custom_width=’50px’ custom_border_color=” custom_margin_top=’30px’ custom_margin_bottom=’30px’ icon_select=’yes’ custom_icon_color=” icon=’ue808′ font=’entypo-fontello’ admin_preview_bg=”]
[av_textblock size=’19’ font_color=” color=” av-medium-font-size=” av-small-font-size=” av-mini-font-size=” admin_preview_bg=”]
[/av_textblock]
[/av_three_fifth][av_one_fifth min_height=” vertical_alignment=” space=” custom_margin=” margin=’0px’ padding=’0px’ border=” border_color=” radius=’0px’ background_color=” src=” background_position=’top left’ background_repeat=’no-repeat’ animation=” mobile_breaking=” mobile_display=”]
[/av_one_fifth][av_one_fifth first min_height=” vertical_alignment=” space=” custom_margin=” margin=’0px’ padding=’0px’ border=” border_color=” radius=’0px’ background_color=” src=” background_position=’top left’ background_repeat=’no-repeat’ animation=” mobile_breaking=” mobile_display=”]
[/av_one_fifth][av_three_fifth min_height=” vertical_alignment=” space=” custom_margin=” margin=’0px’ padding=’0px’ border=” border_color=” radius=’0px’ background_color=” src=” background_position=’top left’ background_repeat=’no-repeat’ animation=” mobile_breaking=” mobile_display=”]
[av_hr class=’short’ height=’50’ shadow=’no-shadow’ position=’center’ custom_border=’av-border-thin’ custom_width=’50px’ custom_border_color=” custom_margin_top=’30px’ custom_margin_bottom=’30px’ icon_select=’yes’ custom_icon_color=” icon=’ue808′ font=’entypo-fontello’ admin_preview_bg=”]
[av_textblock size=’19’ font_color=” color=” av-medium-font-size=” av-small-font-size=” av-mini-font-size=” admin_preview_bg=”]
EN SAVOIR PLUS SUR CE THÈME
[/av_textblock]
[av_blog blog_type=’taxonomy’ link=’post_tag,78′ blog_style=’single-big’ columns=’3′ contents=’excerpt’ content_length=’excerpt_read_more’ preview_mode=’auto’ image_size=’portfolio’ items=’5′ offset=’1′ paginate=’no’ conditional=”]
[av_hr class=’short’ height=’50’ shadow=’no-shadow’ position=’center’ custom_border=’av-border-thin’ custom_width=’50px’ custom_border_color=” custom_margin_top=’30px’ custom_margin_bottom=’30px’ icon_select=’yes’ custom_icon_color=” icon=’ue808′ font=’entypo-fontello’ admin_preview_bg=”]
[av_magazine link=’category,2′ items=’7′ offset=’2′ tabs=’aviaTBtabs’ thumbnails=’aviaTBthumbnails’ heading=” heading_link=’manually,http://’ heading_color=’theme-color’ heading_custom_color=’#ffffff’ first_big_pos=’top’ admin_preview_bg=”]
[/av_three_fifth][av_one_fifth min_height=” vertical_alignment=” space=” custom_margin=” margin=’0px’ padding=’0px’ border=” border_color=” radius=’0px’ background_color=” src=” background_position=’top left’ background_repeat=’no-repeat’ animation=” mobile_breaking=” mobile_display=”]
[/av_one_fifth][/av_section]