TOUS LES ARTICLES PAR : Jean-Jules Lema Landu

Exilé en France depuis 2003, résidant actuellement à Rennes, le journaliste a répondu aux questions des lycéens et évoqué son lourd passé. « Je suis devenu journaliste par accident de parcours et non vraiment par vocation », a -t-il souligné en préambule.
Par la suite, Jean-Jules Lema Landu s'est passionné pour son métier et n'a jamais renoncé à l'exercer, alors que sa vie était en danger : « Dans mon pays, tuer des journalistes, c'est fréquent ! ». Pour sa part, il a été emprisonné 12 fois, dans des conditions inhumaines.

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Afrique 2018 : chapeau bas à l’Ethiopie !

[BILAN POLITIQUE] Avec le mois de mars, comme à l’accoutumée, les pays -aussi bien d’ailleurs que les entreprises-, vont commencer à publier leur bilan, pour l’année 2018. Des chiffres, des graphiques, d’infographies, des statistiques donc, pour montrer l’évolution qui a marqué leur action. L’Afrique ne sera pas en reste. Mais pour l’Ethiopie, il s’agira de voir les choses sous un autre angle : des actes concrets posés pour l’instauration de la paix dans la Corne de l’Afrique.Afrique 2018 : chapeau bas à l’Ethiopie !

RD Congo : les carottes sont cuites

[POST-ÉLECTORAL] Les carottes sont cuites. Félix Tshisekedi est désormais le cinquième président de la RD Congo. Il en sera ainsi pendant son mandant de cinq ans, jusqu’en 2023. Pour autant, cela n’efface pas comme par enchantement le contentieux post-électoral, puisqu’il y en a un. Qui jure avec les « mensonges des urnes ». Celui-ci aura constitué, en droit, un cas de « jurisprudence », en matière d’élection en Afrique. Et ouvert, pour les Congolais, une plaie à vif du tribalisme.

RD Congo : éloge d’un hold-up électoral

[ÉLÉCTIONS] Le suspense s’est évanoui, puis l’intensité du tollé est retombée, après la proclamation de la victoire de Félix Tshisekedi et son investiture, le 24 janvier comme cinquième président de la République Démocratique du Congo. Du coup, les réseaux sociaux se sont calmés. Seule la vérité des urnes que personne n’est en mesure d’effacer persiste. Elle parle dans la conscience de tout un chacun, car, elle est absolue.

Elections au Congo : Kabila, Tshisekedi et la mascarade

[ÉLÉCTIONS PRÉSIDENTIELLES] Jamais élections africaines n’avaient autant étalé les vices de la dictature, par rapport à la décision de frauder : coupure d’Internet et du signal de RFI, tirs à balle réelle sur des militants de l’opposant Martin Fayulu, ayant fait cinq morts au total, comptage des voix à huis clos, en dehors des témoins de la partie adverse, et comble d’autocratie, report du scrutin dans trois localités, à l’est et à l’ouest du pays (fief de l’opposant Fayulu), pour des raisons fallacieuses. Les trois localités comptent plus d’un million d’électeurs. Un banditisme d’Etat avéré !

Élections en République Démocratique du Congo et banditisme d’Etat

[ÉLECTION PRÉSIDENTIELLES] C’est fait. En dépit de l’éclat de la vérité des urnes, aperçu jusqu’aux extrémités de la terre, Kabila a opté pour le mensonge. Un mensonge cousu de fil blanc que seuls les schizophrènes « kabilistes » et une partie du peuple berné semblent ne pas voir. L’installation au sommet de l’Etat de Tshisekedi, ventre mou de l’opposition, en lieu et place de Fayulu, véritable vainqueur des élections, est une honte pour toute l’Afrique.

Elections présidentielles en RD Congo : Victoire autoproclamée, votes impossibles, machines à voler…

[ÉLECTIONS] On en était déjà à ce jour « J », appelé de leurs vœux par des millions de Congolais : les élections pour une alternance démocratique. Comme par hasard, le chiffre « 30 » a coïncidé avec le « 30 » juin, date de l’indépendance du pays en 1960. La comparaison s’arrête net là. Car, le 30 décembre 2018 ne sera pas maqué d’une pierre blanche, en raison d’une élection biaisée, où le nom du vainqueur Emmanuel Ramazani Shadary était comme gravé dans le marbre.

RD Congo : le génie est sorti de la bouteille

[ÉLÉCTIONS PRÉSIDENTIELLES] Le titre est affirmatif. Or, par prudence, l’emploi du conditionnel ou de la forme interrogative aurait été plus convenable. On n’en a cure. L’organisation des élections en cours constitue la fin d’un « cycle », dont la suite présente une inconnue redoutée par tous les observateurs. Mais quelle est cette inconnue, sinon une guerre civile, avec pour conséquence la partition du pays ?