18 Juillet : la Journée internationale Nelson Mandela à la MDJ

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Armand Iré, Côte d’Ivoire : 

Du terroriste fiché par le FBI au héros mondial, Nelson Rolihlahla Mandela, une vie.

 

Rasoul Asghari, Iran : Résistance 

Nelson Mandela nous a montré la voie par sa lutte et dans sa résistance. Mais le plus important dans ce qu’il nous a enseigné c’est que indépendamment du contexte, lutter pour la liberté est la seule chose qui compte.

 

Murad Moudia, Soudan du Sud : Mandela, le dernier prophète de la Paix et de l’Humanité.

La naissance de Mandela a été la naissance d’une légende, son départ a été le départ du dernier prophète de la paix et de l’humanité. Sa lutte incroyable et sa longue marche vers la liberté pour faire tomber le système de l’apartheid dans son pays a été remarquable et importante pour la liberté et la dignité de l’ensemble de l’humanité. Il est devenu une icône et un symbole de la justice internationale et de l’égalité des droits : Il restera toujours une des figures les plus importantes de l’histoire humaine.

Behzad Qayomzada, Afghanistan : Mandela, le symbole de l’antiracisme. 

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Pa Amadou Jallow, Gambia : Comme le monde se souvient de votre noble effort.

Chaque année, le 18 Juillet – la Journée où Nelson Mandela naquit – l’ONU se joint à l’appel lancé par la Fondation Nelson Mandela à consacrer 67 minutes de temps à aider les autres : un moyen de marquer la Journée internationale Nelson Mandela.

Pour 67 ans, Nelson Mandela a consacré sa vie au service de l’humanité – en tant qu’avocat des droits de l’homme, en tant que prisonnier d’opinion, en tant qu’artisan de la paix internationale ainsi que premier président démocratiquement élu d’une Afrique du Sud libre.

Voici quelques-unes de mes citations préférées, de vous, Madiba…

« Au cours de ma vie, je me suis consacré à cette lutte des peuples africains. J’ai combattu contre la domination blanche et j’ai combattu contre la domination noire. J’ai chéri l’idéal d’une société libre et démocratique dans laquelle tout le monde vivrait ensemble en harmonie et avec des chances égales. C’est un idéal pour lequel j’espère vivre et que j’espère accomplir. Mais si nécessaire, c’est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir. »

« Les vrais leaders doivent être prêts à tout sacrifier pour la liberté de leur peuple. »

« Si vous parlez à un homme dans une langue qu’il comprend, cela va dans sa tête. Si vous lui parlez dans sa langue, cela va dans son cœur. »

Nelson Mandela est parti, mais ses mots resteront … RIP

Personne ne peut arrêter de compter vos efforts, le monde vous sera toujours reconnaissant.

Sadegh Hamzeh, Iran :  Noirs et blancs ne sont pas différents. L’Humanité, c’est importante.

Aden Duale Gibril, Somalie : La vengeance, l’une des sources de conflits.

Nelson Mandela a été  un personnage célèbre de notre  époque, une figure de notre siècle, mais hélas un homme comme les autres : la mort ne l’a pas épargné. Son parcours  a été hors-norme, sa vie a été  atypique : il a subit la dureté de la période la plus sombre de l’histoire de son pays et il a combattu contre l’injustice et  la discrimination raciale qui existait dans son pays. Il a réussi à sortir son pays du conflit en rejetant la vengeance. Il a laissé derrière lui un pays stable et prospère mais aussi des idées et des valeurs nobles. Son héritage servira l’humanité contre  les conflits !

Le 14 Juillet 2014 raconté par les clichés de Muzaffar Salman

Le 14 Juillet 2014 raconté par les clichés de Muzaffar Salman.

Le 14 Juillet 2014 vu par des plumes de la MDJ

Cet année, la fête nationale du 14 juillet sera marqué par le lancement du cycle international des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale 1914-2014 : 80 pays belligérants de la Grande Guerre seront symboliquement réunis à Paris à l’invitation de la France afin de participer au défilé des Champs-Elysées.
A l’occasion de cette journée, des plumes de la Maison des journalistes proposent leurs réflexions.

Dessin de PLANTU

Dessin de PLANTU

France-Algérie, 14 juillet ou l’ambiguïté historique par Larbi Graine

14 juillet 2014 : Hommage aux pays africains alliés de la Grande Guerre par Benson Sérikpa

14 Juillet : Le peuple français, modèle inspirateur de la lutte pour la liberté par KIKI

France : Un exilé écrit sur le 14 juillet mais pour dire quoi ? par Sékou Chérif Diallo

Le 14 juillet vu des châteaux par Armand Iré

14 Juillet : Le peuple français, modèle inspirateur de la lutte pour la liberté

[Par KI KI]

Dessin de Raquel Orzuj (tiré de catalogue de dessin de presse L'exil - MDJ, 2011)

Dessin de Raquel Orzuj (tiré de catalogue de dessin de presse L’exil – MDJ, 2011)

Chaque année depuis 1789 le peuple français fête la République, marquée par la prise de la bastille le 14 Juillet 1789. Le peuple français de ce temps-là, se libérait de la tyrannie royale. La France, que célèbre-t-elle exactement? Son peuple, héros plein d’audace, d’esprit patriote, d’amour pour ses frères emprisonnés injustement et persécutés. C’est ainsi que s’est construite la République Française, sur ce souvenir d’une révolution populaire riche de la volonté de tout changer pour le bien de tous, de faire de leur pays un Etat de droit qui respecte les droits de l’homme pour tous sans exception. Personne n’est au-dessus des lois en France. Tous sont égaux en droit.

Aujourd’hui, le peuple français d’aujourd’hui fêtera le 14 Juillet. C’est le moment de plaider la cause de nos peuples auprès de la République Française. Nous, journalistes exilés, défenseurs des droits humains, cause pour laquelle nous avions été persécutés dans nos pays d’origine. La France peut nous aider à faire advenir un changement socio-politique dans nos différents pays. Mais pour que la France nous aide, nous devons d’abord demander à nos peuples de s’unir, à parler d’une seule voix. On ne peut échouer dans la lutte contre nos persécuteurs, contre les oppresseurs de nos peuples. La prise de la bastille fut la réaction d’un peuple uni et fort. Bravo au peuple français ! Il reste un peuple modèle, exemplaire, inspirateur de la lutte pour la liberté et le respect des droits humains de tous les peuples, dans le monde entier.

Toujours, encore aujourd’hui la France s’engage par tous les moyens possibles dans la lutte pour la liberté des autres peuples opprimés, en Afrique, en Asie, en Europe et même Amérique. Pour promouvoir la fraternité humaine, l’égalité et la liberté pour tous qui est définie comme “principe” de la République.

Que vive la République Française!

Que vive le peuple français!

Que vive les droits du peuple !

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France-Algérie, 14 juillet ou l’ambiguïté historique

[Par Larbi GRAÏNE]

La France célèbre cette année sa fête nationale du 14 juillet en y associant pour la première fois l’Algérie. Si les autorités françaises justifient la présence de son ex colonie en raison de la participation de 173.000 de ses combattants à la première guerre mondiale, il n’en demeure pas moins que la fête française croise d’autres séquences de l’histoire algérienne.
Instituée en 1880, cette fête fait référence d’abord à la prise de la Bastille qui marque l’abolition de la monarchie absolue (14 juillet 1789), ensuite au jour moins bien connu d’union nationale, appelé aussi Fête de la Fédération (14 juillet 1790).

Charles Thévenin (1764-1838), La Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, au Champ-de- Mars. © Musée Carnavalet/ Roger-Viollet

Charles Thévenin (1764-1838), La Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, au Champ-de- Mars.
© Musée Carnavalet/ Roger-Viollet

Quand la fête du 14 juillet est instituée sous la IIIe République, l’occupation de l’Algérie par la France bouclait presque jour pour jour sa 50e année. C’est le 5 juillet 1830, que le Dey Hussein signait le traité de capitulation d’Alger, après que le corps expéditionnaire français eut parvenu à mettre en pièces ses troupes. 130 ans plus tard, l’Algérie devenue indépendante, gomme d’un revers de la main le souvenir de la capitulation en instaurant le 5 juillet, comme fête de l’indépendance lors même qu’une autre date pouvait bien être retenue pour marquer l’événement, à savoir le 19 mars 1962, date du cessez- le-feu.

Rencontre entre les communards parisiens et les insurgés kabyles

Mais pour l’histoire, c’est trop loin de la France et de l’Algérie, qu’une poignée d’Algériens vont entendre parler de la révolution française.

Dans une France du XIXe siècle en proie à de nombreuses convulsions politiques en lien avec les changements de régime qu’aggravent les ambitions liées à la conquête d’un nouvel empire colonial, les hommes et les femmes sont poussés sur le chemin de l’exil quand ils ne sont pas déportés dans de très lointains pays, souvent insulaires. C’est dans ce contexte qu’apparaissent les bagnes coloniaux appelés à abriter une foultitude de proscrits politiques et de droits communs. Victor Hugo lui même fit les frais du coup d’Etat de « Napoléon le Petit », ce qui le contraindra à l’exil. L’œuvre de cet écrivain s’en ressentira d’ailleurs. Il dressera du reste des portraits saisissants des opposants au coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. Un peu plus tard, le 18 mars 1871 éclate l’insurrection de Paris, que l’historiographie désigne sous le nom de la Commune. Au même moment (le 16 mars 1871) une autre insurrection se déclare en Algérie sous l’impulsion des Kabyles conduits par Mohand Amokrane, (cheikh el Mokrani) et le cheikh Aheddad. Si les insurgés parisiens instaurent le gouvernement du peuple face à une classe dirigeante bourgeoise défaillante, les insurgés kabyles engagent, quant à eux, une grande bataille contre le pouvoir colonial. Les deux événements se rejoignaient quant au fond. Car c’est de la libération des peuples respectifs qu’il s’agit. La Commune a duré un peu plus de deux mois et s’est soldée par 7500 morts environ parmi les communards et des milliers de prisonniers. De l’autre côté de la Méditerranée, l’insurrection kabyle qui a duré plus longtemps (près de 10 mois) fut particulièrement meurtrière même si les sources sont restées muettes sur le nombre de morts. L’on sait par contre que l’armée d’occupation était composée de près de 86 000 hommes. La défaite de la Commune de Paris avait permis du reste à l’armée d’Afrique de reprendre les choses en main. Après la répression sanglante de l’insurrection algérienne, plus de 120 hommes kabyles furent déportés à l’autre bout du monde dans l’archipel du Pacifique sud : la Nouvelle-Calédonie, devenue territoire français depuis une vingtaine d’années.

Les déportés kabyles [Photo tirée de iisg.nl]

Les déportés kabyles [Photo tirée de iisg.nl]

C’est là que les Kabyles vont croiser les communards déportés. Grande figure féminine de la Commune de Paris, Louise Michel, qui côtoya les Kabyles les décrit comme « des Orientaux (…) simples et bons et d’une grande justice (…) [qui] ne comprenaient rien à la façon dont on avait agi avec eux ». Cela dit, s’il fut d’une portée extraordinaire, le mouvement du 14 juillet, n’en reste pas moins un idéal en construction. C’est dire que son avenir dépend de sa capacité à s’expurger de son ambiguïté historique.

 

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14 juillet 2014 : Hommage aux pays africains alliés de la Grande Guerre

[Par Benson SÉRIKPA]

La France sera la capitale du centenaire de la Première Guerre mondiale (1914-1918) lors de la commémoration du 14 juillet sur les Champs-Élysées, date de la fête nationale de la France. A cette occasion, l’État français rendra un hommage solennel à l’ensemble des pays ayant participé au conflit mondial en Europe. 18 nations africaines sur 80 invitées seront représentées à ces festivités. Il s’agit notamment de l’Afrique du Sud, l’Algérie, le Bénin, le Burkina Faso, Les Comores, la Côte d’Ivoire, le Congo, le Djibouti, le Gabon, la Guinée, le Madagascar, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, le Tchad et la Tunisie. Ainsi donc cent ans après, le monde entier verra les emblèmes des alliés et les drapeaux des ennemis d’hier disposés côte à côte.

Des soldats français de la Licorne à leur départ de la Côte d'Ivoire le 16 mai 2007. afp.com/Issouf Sanogo

Des soldats français de la Licorne à leur départ de la Côte d’Ivoire le 16 mai 2007.
afp.com/Issouf Sanogo

Le grand défilé qui se tiendra sur la plus belle avenue du monde a pour thème « Une armée puissante et moderne », illustration du choix du président de la République, François Hollande, de souligner les ambitions politiques de la France et l’ensemble des missions des forces armées. Ce défilé mettra en valeur des unités impliquées récemment dans les opérations qui témoignent de la capacité de la France à assumer ses engagements auprès de la communauté internationale. A ce sujet, faut-il le rappeler, 20 000 militaires français sont actuellement déployés hors de la métropole, dont 7 500 engagés dans des opérations extérieures, approuvées par le Parlement.

Sur le continent africain, cette année a été marquée par la poursuite de l’engagement français au Mali, où le dispositif déployé en soutien des forces des Nations unies vise à lutter contre les groupes armées terroristes qui menacent la stabilité du pays. Cet engagement s’inscrit dans un appui plus large aux États de la région à travers le déploiement de 3 000 hommes dans la bande sahélo-saharienne. En effet, devant la dégradation brutale de la situation au Mali et en réponse à la demande des autorités maliennes, le président de la République, François Hollande, avait décidé l’intervention des forces françaises au Mali, le 11 janvier 2013, en lançant l’opération Serval.

On note aussi que depuis le 5 décembre 2013, 2000 soldats français sont engagés dans l’opération Sangaris en République centrafricaine. Cette opération aux côtés des africains a été déclenchée pour protéger les populations, permettre l’arrivée de l’aide humanitaire et restaurer l’autorité de l’État.

Par ailleurs, la France contribue à plusieurs opérations de stabilisation et de maintien de la paix sous mandat des Nations unies, de l’OTAN ou de l’Union européenne. C’est le cas par exemple en Côte d’Ivoire, où elle est présente à travers la force Licorne, forte de 450 soldats, pour soutenir l’Opération des Nations unies (ONUCI) et accompagner la réforme de l’armée ivoirienne. La France tient ce même engagement au large de la corne de l’Afrique où elle contribue à la force navale européenne de lutte contre la piraterie.

Les armées françaises, par leur présence à travers le monde et particulièrement en Afrique, conservent en effet leur capacité à intervenir pour la paix dans l’ensemble des situations dans lesquelles les intérêts de la France ou ses ambitions sont mis en jeu.

De belles festivités en perspectives, qui auront aussi pour point d’orgue des feux d’artifices, tirés depuis la Tour Eiffel.

[Photo tirée de tuxboard.com]

[Photo tirée de tuxboard.com]

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France : Un exilé écrit sur le 14 juillet mais pour dire quoi ?

[Par Sékou Chérif DIALLO]

A bas l’oppression ! Vive la LIBERTÉ !
Comme les parisiens du 14 juillet 1789, l’aspiration à la liberté est une prédisposition naturelle. Face à la tyrannie et à l’injustice, tous les peuples finissent par exprimer leur ras-le-bol.
Oui ! Pour le triomphe des valeurs universelles de droits de l’Homme et des libertés fondamentales, tous les sacrifices sont nécessaires et justifiés, même au péril de sa vie. Seul compte l’héritage.

La Liberté guidant le peuple. Eugène Delacroix (Musée du Louvre)

La Liberté guidant le peuple. Eugène Delacroix (Musée du Louvre)

A côté des illustres noms cités à chaque commémoration, je rends hommage à ces milliers d’anonymes, menuisiers, ébénistes, serruriers, tabletiers, ciseleurs, sculpteurs…, qui, loin des calculs politiques sur les privilèges à se partager à l’issue de la Révolution, étaient plutôt animés par cette soif de liberté, le souci de laisser à leurs enfants un pays libre, une nation forte et des valeurs.
Loin du symbole que représente la prise de la Bastille, elle est surtout marquée par son caractère déclencheur d’une révolution juridique dans les rapports entre les hommes dans la société : la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen. Pour reprendre cette citation tirée d’un article de Jacques Serieys, « La Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen n’a pas été préparée au calme par un petit cénacle isolé de quelques juristes. Elle naît au travers d’un instant révolutionnaire particulièrement agité. »
Aujourd’hui, les Français peuvent être fiers de leurs parents qui se sont battus pour la bonne cause. A des milliers de kilomètres de l’ancien emplacement de la Bastille, les valeurs défendues ce jour-là rayonnent encore et toujours. Malgré l’entêtement de certains, dans certains pays comme le mien, ce monde libre est bien réel et l’esprit du 14 juillet 1789 est bien présent. John F. Kennedy disait que « La grande révolution dans l’histoire de l’Homme, passée, présente et future, est la révolution de ceux qui sont résolus à être libres. »
Vive l’UNITÉ ! Vive la conservation de la mémoire collective !
Un peuple fort est un peuple uni. Au-delà des différences qui sont loin d’être un handicap, mais avant tout une richesse, le peuple français mesurait déjà l’ampleur et la nécessité des actions de réconciliation à mener. Car une révolution a en son sein les germes de la division. Pour célébrer la révolution, rien de plus grandiose qu’une fête au nom de l’unité des Français.

100 000 Parisiens au Champ-de-Mars pour la Fête de la Fédération le 14 juillet 1790. [Photo tirée de www.elysee.fr]

100 000 Parisiens au Champ-de-Mars pour la Fête de la Fédération le 14 juillet 1790. [Photo tirée de www.elysee.fr]

14 juillet 1789 et 14 juillet 1790, la marche vers la liberté et l’unité était enclenchée et rien ne pouvait l’arrêter. Il fallait le courage et l’abnégation des hommes et des femmes pour écrire l’une des pages les plus glorieuses de l’Histoire de la République française. Le pari est aujourd’hui plus grand, plus ambitieux et plus fédérateur : L’unité des peuples.
Enseigner l’Histoire de la Révolution française à des élèves qui vivent à des milliers de kilomètres de Paris notamment, d’où je viens, participe selon moi, de cette volonté de préserver cette mémoire collective autour des valeurs inspirées et défendues par les révolutionnaires du 14 juillet 1789.
Certes, il reste beaucoup de combats à mener, beaucoup de Bastille à prendre, beaucoup de roitelets à débarquer, mais heureusement, la motivation ne faiblit pas un instant, surtout quand il s’agit du combat pour la liberté.
Joyeux 14 Juillet.

 

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