En Côte d’Ivoire, une politique ethniciste, tribale et régionaliste est en place

[AFRIQUE] Dès son accession au pouvoir en 2011, le Président Ivoirien Alassane Ouattara a annoncé d’ores et déjà les couleurs de sa gouvernance à travers le rattrapage Ethnique. C’est à dire privilégier les Ivoiriens venu du nord sa région ou les citoyens Ivoirien à consonance nordique, ceux qui l’aurait porté au pouvoir.

Elections présidentielles en RD Congo : Victoire autoproclamée, votes impossibles, machines à voler…

[ÉLECTIONS] On en était déjà à ce jour “J”, appelé de leurs vœux par des millions de Congolais : les élections pour une alternance démocratique. Comme par hasard, le chiffre “30” a coïncidé avec le “30” juin, date de l’indépendance du pays en 1960. La comparaison s’arrête net là. Car, le 30 décembre 2018 ne sera pas maqué d’une pierre blanche, en raison d’une élection biaisée, où le nom du vainqueur Emmanuel Ramazani Shadary était comme gravé dans le marbre.

24 et 31 décembre, deux dates cultes pour les ivoiriens

[COTE D’IVOIRE] Le 24 et le 31 Décembre, si l’un est nommé demi-finale, l’autre est perçu comme la finale. Deux jours où les Ivoiriens expriment leur joie de rentrer dans la nouvelle année. Dès l’aube, dans cette période harmattanesque où l’on peut déjà entendre le bruit assourdissant de musique dans les ménages, les rues, et même les véhicules de transports en commun, taxi et mini-car communément appelé Gbaka.

Côte d’Ivoire : le maire de Bassam refuse toujours de reconnaitre sa défaite

[ÉLECTIONS] En Côte d’Ivoire, dans la ville de Bassam, les élections passent mal. Après le verdict des urnes, Georges Ezaley, le maire sortant du parti politique PDCI-RDA et candidat à sa propre succession refuse une fois de plus sa defaite.

RD Congo : le génie est sorti de la bouteille

[ÉLÉCTIONS PRÉSIDENTIELLES] Le titre est affirmatif. Or, par prudence, l’emploi du conditionnel ou de la forme interrogative aurait été plus convenable. On n’en a cure. L’organisation des élections en cours constitue la fin d’un “cycle”, dont la suite présente une inconnue redoutée par tous les observateurs. Mais quelle est cette inconnue, sinon une guerre civile, avec pour conséquence la partition du pays ?

Qui a peur des élections… en République Démocratique du Congo ?

[ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE]”C’est pourquoi on empêche ce Fayulu-là de parler, à travers son porte-voix ? On a peur de lui ou quoi ?”, m’a demandé mon petit-fils, âgé de 7 ans, en regardant la télévision. Devant mon silence, il a pris l’initiative de répondre lui-même à sa question : “C’est Kabila qui a donc peur…”. Vérité limpide d’enfant !

RD Congo : le réel et la fin du flou artistique en politique à quelques jours des élections

[ELECTIONS PRESIDENTIELLES] A mesure qu’on avance vers la date fatidique du 23 décembre, le ciel se décante. Le réel prend le pas sur le flou. Un flou artistique, qui cache la réalité sans la supprimer. En un mot, le mensonge. La déclaration publique du président Kabila, dimanche 9 décembre à plusieurs médias américains, de vouloir se représenter à la présidentielle de 2023, ajoute à la clarification.