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Fresque murale du pape François sur un mur d'une église à Bagdad

Lorsque des irakiens demandent au Pape de revenir en Irak

Jeunes élèves en primaire, nous avons vécu plusieurs visites d’inspection de la part de superviseurs pédagogiques venus du ministère de l’Éducation. Au moins une semaine avant chacune de ces visites, l’administration de l’école se mettait (enfin) au travail : réparations, nettoyages, peintures, décoration, etc. Administration, enseignants et élèves, tout le monde participait à ces chantiers. L’essentiel est que l’école apparaisse le “jour J” en bon état aux yeux du ministère; l’administration de l’école ne se souciant guère de ses élèves ni de ses enseignants.

Algérie. Des présidents agonisants

L’autre jour, en flânant dans Paris, je suis tombé sur un SDF absorbé par la lecture d’un livre. Oui, cela se remarque, à Paris, la culture s’est démocratisée, elle n’est plus l’apanage des seuls clercs. Elle irrigue jusqu’aux petites gens, parmi les plus démunies et les plus délaissées. La posture du SDF qui lit, buste incliné, presque couché sur un banc public, suggérait qu’il tenait entre les mains un de ces bouquins à l’eau de rose, un Harlequin, peut-être. J’engage la conversation avec lui. Eh bien, je n’en reviens pas lorsqu’il me montra la première de couverture : Les lois fondamentales de la stupidité humaine, de l’auteur italien Carlo Maria Cipolla.

Capture d'écran de Take a Breath

Gökkuş : « Je fais passer des sentiments et non des messages »

Réalisateur et journaliste turc réfugié en France, Beraat Gökkuş continue à s’inspirer de sa vie parisienne pour faire des films. Après The Lost Pen, qui a remporté le prix du meilleur réalisateur et le meilleur film SmartFone Flick Fest 2020 (Australie) et le Festival International du Film Africain sur Smartphone, c’est le tour de Take a Breath; un film qui s’inspire du confinement pour traiter de la liberté d’expression. Il est déjà sélectionné pour le festival Super9Mobile (Portugal). Ancien résident de la Maison des journalistes, Beraat répond aux questions de L’oeil de la MDJ. Entretien.

De Gouville : Le jour où j’ai rencontré Sankara

[par Mamadou Bhoye Bah]

Figure révolutionnaire africaine, Thomas Sankara (1947-1987) est considéré comme le « père de la révolution » au Burkina Faso (ancienne république de Haute-Volta). Président du Conseil national révolutionnaire et chef de l’État de facto pendant quatre ans (1983 – 1987),  il est assassiné le 15 octobre 1987. A ce jour, plusieurs zones d’ombres persistent concernant sa mort ainsi que son personnage. 

Albéric De Gouville, rédacteur en chef de France 24 et vice-président de la Maison des journalistes, est l’un des derniers journalistes à avoir interviewé le « Che Guevara africain ». Retour sur cette rencontre dans une interview réalisée par Mamadou Bhoye Bah pour L’œil de la MDJ.

 

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