Où en sont les huit lanceurs d’alerte condamnés pendant la présidence d’Obama?

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Huit lanceurs d’alerte condamnés pendant la présidence d’Obama: où en sont-ils aujourd’hui?

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Dans le cadre du salon “des livres et l’alerte”, retour sur les années Obama. En effet, Barack Obama est souvent accusé d’avoir mené un guerre contre les lanceurs d’alertes, mais est-ce bien la vérité?

Au cours des deux mandats d’Obama, huit lanceurs d’alerte ont été poursuivis en justice, un nombre supérieur à ceux punis par la loi sous toutes les administrations présidentielles des États-Unis réunies. Il est important de reconnaître que ces lanceurs d’alerte n’étaient pas en désaccord avec Obama, mais ont plutôt contesté l’inconduite sous l’administration Bush. Ceci dit, le ministère de la Justice sous Obama n’a pas arrêté les poursuites pénales en cours et en a même engagé.

Les huit lanceurs d’alerte ont tous été accusés d’avoir soit divulgué, soit mal géré, des informations classifiées sous l’Espionage Act de 1917.


L’Espionage Act

La raison des procédure judiciaires: enfreindre l’Espionage Act. Adoptée à l’origine pour punir ceux qui cherchaient à bloquer les effort de recrutement et de financement de la première guerre mondiale, cette loi persiste aujourd’hui dans un contexte très différent. Le Sedition Act, votée l’année suivante, a créé un amendement pour aussi punir certaines formes de discours, y compris les publications de «tout langage infidèle, profane, calomnieux ou abusif concernant le gouvernement américain, la Constitution, l’armée ou les forces navales.”

L’Espionage Act a été contesté devant les tribunaux tout au long des décennies pour avoir limité la liberté d’expression, menant à de nombreuses révisions. Désormais exploité, des présidents tels qu’Obama l’ont utilisé pour réprimer les dissidents qu’ils considéraient comme une menace pour la sécurité nationale.


Tom Devine, directeur juridique du Government Accountability Project (GAP), la plus importante organisation de soutien des lanceurs d’alerte, explique la complexité du sujet. Il définit le comportement d’Obama envers le lanceurs d’alerte comme “schizophrène” et déclare que dans son domaine, ils le définissent comme une “bataille d’Obama contre Obama” pour ces positions contradictoires.

Entre sécurité nationale et protection des lanceurs d’alerte

Tom Devine explique qu’Obama était “le meilleur ami des dénonciateurs américains, tout en cherchant à renforcer la sécurité nationale à travers l’Espionage Act.” Le directeur juridique ajoute que l’ancien président avait “une soumission envers la communauté qui gère la sécurité nationale.”

Bien qu’Obama ait adopté une position étonnamment forte concernant la sécurité nationale, notamment en condamnent ces individus, il a également contribué à la protection des lanceurs d’alertes en général. Il a établi une limitation des poursuites pénales pour ceux qui divulguent des informations classifiées et non pour ceux qui ont simplement divulgué des informations qui ne conforment pas aux idées du gouvernement américain.

Avec sa Presidential Policy Directive (PPD 19), Obama a spécifiquement protégé les lanceurs d’alerte des agences de renseignement “afin de garantir que ces employés puissent signaler efficacement les cas de gaspillage, de fraude et d’abus.”

Voici les dénonciateurs qui n’ont pas été protégés, mais qui ont été poursuivis sous la présidence d’Obama:

Chelsea Manning

L’ancien analyste de renseignement de l’armée a été accusé d’avoir créé la plus grande fuite d’informations de l’histoire américaine, avec l’aide du site de lanceur d’alerte WikiLeaks. Manning a publié 700 000 câbles diplomatiques et des rapports militaires des guerres entre les Etats-Unis, l’Afghanistan et l’Irak.

En 2013, Manning a été condamné à 35 ans de prison. En 2017, le président Obama a considérablement réduit la peine de Manning à un total de 7 ans. Manning a été libéré le 17 mai 2017 et reste très actif sur la scène politique et activiste.

Actuellement, Manning  écrit sur la guerre, le genre et la liberté d’information en tant qu’avis contributif pour The Guardian.

Edward Snowden

Informaticien, et ancien employé de la CIA, Snowden a divulgué des documents secrets révélant que le gouvernement américain espionnait ses citoyens. M. Snowden a été accusé de vol propriété du gouvernement et de deux violations de l’Espionage Act.

Chacune des trois accusations est punie d’une peine d’emprisonnement maximale de dix ans. M. Snowden réside actuellement en Russie, en asile, car il est toujours recherché par le gouvernement américain. Il vit dans une maison gardée secrète et très surveillée à Moscou.

En dépit de ces limitations, son influence reste importante. Il est crédité par «l’effet Snowden» car son cas a lancé un grand débat indispensable sur la vie privée et la sécurité nationale aux Etats-Unis.

Thomas Drake

L’ancien haut dirigeant de la National Security Agency a violé l’Espionage Act en raison de la «rétention volontaire» et de la «divulgation non autorisée» de documents classifiés.

Grâce à une négociation de pênes, toutes les charges ont été abandonnées, le libérant ainsi de toute peine de prison. Drake a été condamné à un an de probation et à 240 heures de travaux de service publique.

Il est maintenant devenu un militant contre «l’État de surveillance», affirmant que «les problèmes de la NSA sont tellement chroniques et systémiques que la seule solution serait de démanteler complètement puis de reconstruire l’organisation».

Son lieu de résidence reste inconnu, mais il se dit “dévoué à la défense de la vie, de la liberté et à la recherche du bonheur.” Cette année, Drake a publié un livre intitulé “Ennemi de l’État: comment le gouvernement américain a tenté de transformer un homme honnête en traître.”

Stephen Jin-Woo Kim

Jin-Woo Kim était un employé du State Department, en tant que conseiller de prolifération nucléaire. Il aurait révélé des informations secrètes sur la Corée du Nord et leur plans d’effectuer un essai de bombe nucléaire. Ces confessions étaient dites a James Rosen, un journaliste de Fox News.

Après une négociation de peines, il a été condamné à 13 mois d’emprisonnement.

Il n’y a pas de nouvelles publiques sur sa vie depuis.

James Hitselberger:

Un linguiste sous contrat de la marine, M. Hitselberger travaillait comme traducteur de langue arabe à Bahreïn. Il a été poursuivi par la loi pour «rétention non autorisée d’informations de la défense nationale.»  Les documents classifiés de la base militaire évoquent des lacunes dans les renseignements américains à Bahreïn.

Comme il n’y avait aucune indication d’espionnage, l’accord a conclu tout simplement avec une amende de 250 dollars.

Il y aucune mise à jour de sa vie professionnelle.

John Kiriakou

L’ancien employé de la CIA a été accusé par le gouvernement américain d’avoir divulgué des informations classifiées à des journalistes. Plus précisément, il a nommé deux anciens collègues qui utilisaient du “waterboarding” pour torturer des détenus à Guantanamo.

Faisant face initialement à 30 ans de prison, Kiriakou a plaidé coupable et n’a été condamné qu’à deux ans et demi de prison. Les accusations portées contre lui pour l’Espionage Act étaient annulées.

Kiriakou vit maintenant en Virginie, il est écrivain et chroniqueur, il dénonce les violations des droits humains.

Shamai Leibowitz

Travaillant pour le FBI en tant que traducteur hébreu, Leibowitz a divulgué plus de 200 pages de transcriptions d’écoutes téléphoniques. Ces conversations entre l’ambassade Israélienne à Washington, publiés par le blogueur Richard Silverstein, démontrent une relation d’intérêts spéciaux entre les deux pays.

Plaidant coupable, il a été condamné, en 2010, à 20 mois de prison.

Il écrit maintenant sur la science, la musique, le judaïsme et l’actualité sur son propre blog. Il enseigne également aux élèves en mathématiques.

Jeffrey Sterling

L’ancien officier de la CIA, Sterling, a été accusé d’avoir divulgué des informations confidentielles sur les efforts des États-Unis visant à perturber le programme nucléaire iranien. Les informations on était  à James Risen, journaliste au New York Times.

Même si M. Sterling insistait que ses communications avec Risen ne contenaient pas d’informations secrètes, il s’est tout de même déclaré coupable d’espionnage. En 2015, il a été condamné a trois ans et demi d’emprisonnement.

Sortis de prison ce janvier, il travaille depuis comme enquêteur de fraude.

Selon Tom Devine, si nous comparons Obama avec les présidents précédents, il y a de plus en plus de lanceurs d’alerte poursuivis en justice, car le Whistleblower Protection Enhancement Act a rendu beaucoup plus difficile le licenciement des employés qui lancent les alertes. Mais il n’y a pas de loi américaine qui protège contre les représailles d’enquêtes criminelles.

Il ajoute que “le harcèlement dans le cadre d’une affaire pénale, en particulier lors de l’ouverture d’une enquête criminelle, est également plus facile et moins risqué, car les agences n’ont pas à s’occuper de tout le travail d’un procès lorsqu’elles ouvrent une enquête criminelle et donnent le choix au lanceur d’alertes de démissionner.”

En prévoyant le futur des lanceurs d’alerte sous l’administration Trump, M. Devine déclare qu’il n’était “pas optimiste face à l’intolérance du président pour ses critiques” et qu’il pensait que “les lanceurs d’alerte qui exposeraient ses abus de pouvoir subiraient des conséquences graves.”
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Chelsea Manning

L’ancien analyste de renseignement de l’armée a été accusé d’avoir créé la plus grande fuite d’informations de l’histoire américaine, avec l’aide du site de lanceur d’alerte WikiLeaks. Manning a publié 700 000 câbles diplomatiques et des rapports militaires des guerres entre les Etats-Unis, l’Afghanistan et l’Irak.

En 2013, Manning a été condamné à 35 ans de prison. En 2017, le président Obama a considérablement réduit la peine de Manning à un total de 7 ans. Manning a été libéré le 17 mai 2017 et reste très actif sur la scène politique et activiste.

Actuellement, Manning  écrit sur la guerre, le genre et la liberté d’information en tant qu’avis contributif pour The Guardian.
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Edward Snowden

Informaticien, et ancien employé de la CIA, Snowden a divulgué des documents secrets révélant que le gouvernement américain espionnait ses citoyens. M. Snowden a été accusé de vol propriété du gouvernement et de deux violations de l’Espionage Act.

Chacune des trois accusations est punie d’une peine d’emprisonnement maximale de dix ans. M. Snowden réside actuellement en Russie, en asile, car il est toujours recherché par le gouvernement américain. Il vit dans une maison gardée secrète et très surveillée à Moscou.

En dépit de ces limitations, son influence reste importante. Il est crédité par «l’effet Snowden» car son cas a lancé un grand débat indispensable sur la vie privée et la sécurité nationale aux Etats-Unis.
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Thomas Drake

L’ancien haut dirigeant de la National Security Agency a violé l’Espionage Act en raison de la «rétention volontaire» et de la «divulgation non autorisée» de documents classifiés.

Grâce à une négociation de pênes, toutes les charges ont été abandonnées, le libérant ainsi de toute peine de prison. Drake a été condamné à un an de probation et à 240 heures de travaux de service publique.

Il est maintenant devenu un militant contre «l’État de surveillance», affirmant que «les problèmes de la NSA sont tellement chroniques et systémiques que la seule solution serait de démanteler complètement puis de reconstruire l’organisation».

Son lieu de résidence reste inconnu, mais il se dit “dévoué à la défense de la vie, de la liberté et à la recherche du bonheur.” Cette année, Drake a publié un livre intitulé “Ennemi de l’État: comment le gouvernement américain a tenté de transformer un homme honnête en traître.”
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Jin-Woo Kim était un employé du State Department, en tant que conseiller de prolifération nucléaire. Il aurait révélé des informations secrètes sur la Corée du Nord et leur plans d’effectuer un essai de bombe nucléaire. Ces confessions étaient dites a James Rosen, un journaliste de Fox News.

Après une négociation de peines, il a été condamné à 13 mois d’emprisonnement.

Il n’y a pas de nouvelles publiques sur sa vie depuis.
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John Kiriakou

L’ancien employé de la CIA a été accusé par le gouvernement américain d’avoir divulgué des informations classifiées à des journalistes. Plus précisément, il a nommé deux anciens collègues qui utilisaient du “waterboarding” pour torturer des détenus à Guantanamo.

Faisant face initialement à 30 ans de prison, Kiriakou a plaidé coupable et n’a été condamné qu’à deux ans et demi de prison. Les accusations portées contre lui pour l’Espionage Act étaient annulées.

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Plaidant coupable, il a été condamné, en 2010, à 20 mois de prison.

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Beatrice Sclapari

Beatrice Sclapari, 21, est de retour à Paris pour poursuivre une carrière de journaliste après une vie sur quatre continents. Née en France, grandie à Singapour et en Australie, puis formée aux Etats Unis, cette Franco-italo-américaine a pour mission de donner une voix à ceux qui n'ont pas eu les mêmes privilèges.

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