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« J’ai vu la haine de la société envers le journal pour lequel je travaillais »

[TÉMOIGNAGE] Entretien avec un journaliste turc exilé: « J’ai vu la haine de la société envers le journal pour lequel je travaillais ». « Même avant le coup d’Etat, on dormait dans nos bureaux au cas où la police arriverait, histoire qu’on ait le temps d’informer nos lecteurs en temps réel de ce qui se passait ».

Le Président d’urgence

[TRIBUNE LIBRE] L’Etat d’urgence qui dure depuis 2 ans va finir le 18 juillet si le Président Erdogan ne le prolonge pas. Même si l’Etat d’urgence disparaît de la Turquie, avec le nouveau pouvoir octroyé par son nouveau Président, la Turquie a un “Président d’urgence” ce qui est devenu une situation normale. Le Président de cette « Nouvelle Turquie » Recep Tayyip Erdogan a juré sur la Constitution puis est officiellement devenu « l’hyper président » de son pays.

« J’ai 20 ans et je veux un futur »

[MIGRATION] Rania Mustafa Ali a filmé son voyage de Kobani en Syrie à l’Autriche. Ses images montrent ce que de nombreux réfugiés affrontent lors de leur voyage risqué en Europe. Rania a rencontré des passeurs, elle fut gazée et battue à la frontière macédonienne. Elle risqua ensuite de se noyer en Méditerranée, voyageant dans un bateau destiné à accueillir 15 personnes mais bourré avec plus de 60 personnes.

Le football n’est jamais juste du football

[TURQUIE] Ali Koç a gagné le poste de président du club de Fenerbahçe : 16.920 votes contre 4.644 pour Aziz Yıldırım. Ce résultat est devenu un « TT » (trend topic) sur le réseau social twitter. En particulier, les jeunes supporteur, qu’ils soient pour le club de football du Fenerbahçe ou ceux de Galatasaray, ou bien encore du Beşiktaş, ces jeunes ont fêté le résultat comme étant un symbole de « la nouveauté » et « du changement ». Ceci a confié la phrase : « le football n’est jamais juste du football ».

Le festival Cinéma de Turquie à Paris : un refuge pour la liberté d’expression

[Culture] L’autoritarisme et la censure surplombent tous les domaines en Turquie. Malheureusement, cela comprend aussi le cinéma. Il y a beaucoup de films comme « Zer » de Kazım Öz ou « Tereddüt » de Yeşim Ustaoglu qui sont censurés par l’Etat ou bien autocensurés par leurs auteurs de peur de représailles. Et cette situation tragique crée aussi des situations absurdes.